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🌿 Signature fréquentielle Re–Do : libérer la honte et retrouver la confiance intérieure

  • Libérez la honte et révélez les secrets familiaux grâce aux signatures fréquentielles Re–Do

    La honte est souvent à l’origine des secrets familiaux, enfouis profondément dans notre psyché et transmis de génération en génération. Ces secrets invisibles génèrent peurs, blocages et comportements répétitifs inconscients. Pour libérer ces poids, une approche innovante repose sur les signatures fréquentielles, des vibrations sonores ciblées qui résonnent avec nos corps subtils, nos chakras et notre système nerveux, permettant de révéler le secret et d’alléger la honte.

    Les signatures fréquentielles : une clé pour la libération émotionnelle

    Chaque note et combinaison vibratoire agit sur des dimensions précises de notre être. La signature Re–Do, en particulier, est puissante pour restaurer la confiance tout en libérant la honte profondément enfouie. Re, notre deuxième chakra, est lié à l’ancrage, à la patience, et parfois à des émotions difficiles comme la paresse, la fatigue, la dépression ou des expériences traumatiques passées (viol, violence verbale ou physique). Do, placé en deuxième note, complète cette vibration en apportant la confiance dans l’acte juste, ouvrant ainsi le chakra du cœur et le siège de la conscience (Si) pour une action éclairée.

    Travailler Re–Do, c’est concevoir, identifier et créer, tout en harmonisant le système nerveux et la glande pinéale, afin de préparer le corps et l’esprit à passer à l’action sans être prisonnier des schémas anciens. La vibration agit sur le corps, la mémoire cellulaire et les émotions, permettant de réintégrer des expériences douloureuses avec douceur.

    Re–Do et l’huile essentielle de Myrtus communis à cinéol

    Pour renforcer l’effet de la signature fréquentielle, il est possible d’associer la vibration Re–Do à l’olfaction de l’huile essentielle de Myrtus communis à cinéol. Cette huile possède des vertus puissantes :

    • Purifiante et protectrice, elle aide à clarifier les mémoires émotionnelles bloquées.

    • Apaisante, elle réduit l’anxiété et le stress liés aux souvenirs honteux ou traumatiques.

    • Stimulante pour la confiance intérieure, elle soutient l’action juste et l’ancrage, en harmonie avec la vibration Do.

    • Clarté mentale et spirituelle, elle facilite la connexion au corps subtil et à la glande pinéale, amplifiant l’effet de la signature Re–Do sur le deuxième chakra et le Si.

    Cette combinaison vibration + olfaction crée un double canal de stimulation sensorielle et énergétique, permettant à la mémoire émotionnelle d’être accueillie et transformée plus facilement.

    L’effet “inverse” : comme en homéopathie

    Une caractéristique essentielle de Re–Do est son fonctionnement en mode “inverse”, similaire à l’approche homéopathique. En homéopathie, on utilise le semblable pour stimuler le corps, mais ici, la vibration agit en opposition à la blessure pour catalyser la transformation.

    • Là où la honte paralyse, Re–Do réintroduit confiance et sécurité.

    • Là où la peur bloque l’action, Do stabilise et sécurise, permettant à Re de libérer la mémoire émotionnelle.

    • Là où l’énergie est dispersée ou épuisée, la vibration inverse agit comme un catalyseur doux mais efficace, relançant le flux vital sans forcer le corps ni l’esprit.

    Ainsi, on ne guérit pas la honte en restant dans la honte, mais en lui opposant la vibration et l’aromathérapie qui réactivent l’équilibre naturel.

    Applications pratiques

    La signature Re–Do, accompagnée de l’olfaction de Myrtus communis cinéol, peut être utilisée dans un cadre thérapeutique ou personnel :

    • Révéler les secrets familiaux cachés par la honte, sans confrontation directe.

    • Agir sur les blocages transgénérationnels, qui affectent l’identité et les choix de vie.

    • Renforcer la confiance dans l’action juste, en mettant le corps et l’esprit en cohérence.

    • Préparer à l’ouverture du Si, pour transformer la peur et l’inconscience en initiative consciente.

    Conclusion

    La signature fréquentielle Re–Do, enrichie par l’olfaction de l’huile essentielle de Myrtus communis à cinéol, est un outil puissant pour révéler la honte, libérer les secrets et restaurer la confiance. Elle combine effet vibratoire, conscience corporelle et stimulation olfactive pour permettre à chacun de passer de la peur à l’action consciente. En s’inspirant du principe homéopathique de l’inverse des similitudes, Re–Do agit en douceur, mais en profondeur, transformant la mémoire émotionnelle et transgénérationnelle.

    Avec cette approche, la honte cesse d’être un fardeau invisible et devient une opportunité de croissance, de créativité et de réconciliation intérieure.

    En séance individuelle, vos noms et prénoms servent à calculer un programme personnalisé avec les signatures fréquentielles, pour libérer le corps, le mental et les émotions, et agir sur les mémoires transgénérationnelles et karmiques afin de transformer honte, blocages et secrets hérités.

  • Dominique Mathey :  aromathey@gmail.com 0614357743
  • Facilitatrice de transformation émotionnelle et mentale

Secrets, fantômes et transmissions : de l’indicible à la mise en sens

Le secret de famille ne se résume pas à un non-dit : il est souvent interdit de le connaître et même d’en imaginer l’existence. À la première génération, le secret est indicible — lié à un traumatisme ou à la honte. À la deuxième, il devient innommable — l’enfant pressent mais n’a pas le droit de nommer. À la troisième, il devient impensable — plus aucune représentation consciente n’en subsiste, mais le corps, les rêves ou les comportements en conservent la trace.
L’écoute transgénérationnelle vise à rétablir la continuité de sens entre ces trois temps du silence.

Le praticien doit d’abord clarifier cette distinction avec ses patients et rester attentif aux familles affirmant « nous ne cachons rien » — formulation fréquente lorsqu’existe un interdit de même imaginer un secret.
Le travail thérapeutique demande prudence : ni confrontation directe ni interprétation prématurée, mais exploration progressive des zones muettes, parfois à travers les rêves, les images ou les symptômes corporels.


Rêves et traces du non-dit

Le rêve agit comme un messager entre générations. Il convient d’encourager l’écriture immédiate des rêves pour préserver leurs formulations exactes et de distinguer ceux qui marquent par leur intensité émotionnelle. Leur interprétation doit rester ouverte : mieux vaut accueillir leur portée symbolique et temporelle plutôt que forcer le sens.
Certains rêves font écho à des faits familiaux refoulés — maladies, morts, ruptures — qu’ils réinscrivent dans un langage poétique là où la parole s’est tue.


Les images et les enfants : révélateurs de l’impensé

Dans un monde saturé d’images, certaines bouleversent non par leur contenu immédiat mais par leur résonance transgénérationnelle. Un film, une scène, une peinture peuvent réveiller un souvenir familial non formulé. Les enfants, plus proches de l’inconscient collectif familial, traduisent souvent ces résonances en paroles simples : « Mais dis-lui donc que tu es son père ! » dit un enfant en regardant Bambi — donnant voix à la question de filiation refoulée d’un parent.
Ces réactions ne doivent pas être banalisées : elles constituent des indices cliniques précieux, permettant d’aborder en douceur les non-dits.


L’alliance mère-bébé : prévention des transmissions symptomatiques

Lorsqu’une jeune mère traverse des crises intenses – deuil, rupture, conflits familiaux –, le bébé devient le premier témoin et parfois le porteur des tensions. Un nourrisson qui ne dort plus n’exprime pas qu’une « période pénible » : il peut réactiver un fantôme familial en souffrance.
Le soin consiste alors à reconstruire une alliance d’amour et de confiance mère-bébé : c’est une véritable prévention transgénérationnelle. En apaisant la mémoire du traumatisme à travers la relation vivante, on empêche la répétition inconsciente dans les générations futures.


Le fantôme transgénérationnel

Pour Nicolas Abraham, le fantôme est un objet inconscient transmis d’un inconscient à l’autre, formé autour d’un secret lié au sexe ou à la mort. Il ne provient pas du vécu oublié de la petite enfance, mais du vécu oublié des ascendants.
Ses manifestations sont variées : phobies, troubles corporels, symptômes obsessionnels ou hystériques.
Une fillette, par exemple, terrorisée par les « pieds nus », rejouait inconsciemment le secret familial d’un grand-père pendu — pieds nus / pendus. Le sens, révélé plus tard, a permis d’apaiser l’angoisse et d’éviter une nouvelle transmission.
Ce n’est pas la vérité historique qui soigne, mais la mise en sens et la réintégration symbolique du non-dit.


Psychophanie : une voie d’expression du non-conscient

La psychophanie, inspirée de la communication facilitée, permet parfois de donner forme à des contenus inconscients enfouis. Le patient, accompagné d’un facilitateur, laisse émerger des mots au clavier : métaphores, symboles, fragments d’histoires.
Ces productions ne doivent jamais être tenues pour des vérités factuelles : elles expriment une vérité psychique, non historique. Le but n’est pas la révélation du secret, mais la reconstruction d’un sens apaisant. Le praticien veille à son influence, au cadre éthique et à l’intégration de ce travail dans une démarche thérapeutique globale.


Psyché pré-langagière et enfants explorateurs du transgénérationnel

Certains enfants psychotiques semblent habiter une réalité parallèle, proche du chamanisme ou de la psyché pré-langagière. Leurs dessins, gestes ou silences expriment souvent l’impensé généalogique.
Plutôt que de pathologiser ces phénomènes, il faut les décrypter comme un langage symbolique, manifestation de la mémoire familiale. L’enfant devient alors un explorateur des zones d’ombre du clan, que l’adulte doit traduire sans effroi.


Une méthodologie relationnelle prudente

Pour aborder les secrets, Serge Tisseron recommande des formulations impersonnelles :

« J’ai l’impression qu’un jour, quelqu’un dans notre famille a caché quelque chose. »
Cette approche non accusatoire ouvre l’alliance et évite la fermeture défensive.
L’objectif n’est pas de révéler mais de confirmer, de co-construire un récit cohérent et soutenant.
La vérité complète importe moins que la libération du sens et la continuité retrouvée entre les générations.


Au cœur de ces approches, le thérapeute devient passeur : il relie le visible et l’invisible, le rêve et le réel, l’histoire et la mémoire. Dans cette écoute, les fantômes trouvent enfin des mots pour cesser de hanter les nuits familiales — et laisser, à la place, une paix transmise.