Le silence et le secret : grâce au son et à l’olfaction des huiles essentielles
Le silence et le secret, dans le langage des signatures fréquentielles, sont comme des notes subtiles, très élevées — une note « si-si », vibratoirement rare et précieuse. Ils représentent une forme d’accomplissement intérieur, une capacité à se retirer du bruit du monde pour écouter ce qui est plus vaste que soi. Dans cet espace silencieux, on peut entrer en résonance avec l’ordre universel, cet équilibre profond qui guide toute vie, sans avoir besoin de tout comprendre mentalement, mais en étant porté par la foi.
Être dans cette posture intérieure, c’est reconnaître sa propre sagesse, celle qui ne s’impose pas, mais qui rayonne discrètement, dans l’humilité et la présence. C’est une conscience silencieuse qui s’aligne naturellement avec la sagesse du Vivant.
Dans cette approche, l’huile essentielle d’aneth graveolens (https://www.myrtea-oshadhi.com/produit/1320/aneth-plante) agit comme une clé vibratoire. Elle soutient l’apaisement du mental, aide à dissiper la dispersion, et ouvre l’espace du silence intérieur. Par sa fréquence spécifique, elle accompagne le retour à soi, à cette écoute subtile de ce qui ne se dit pas mais se ressent.
C’est dans ce silence que peuvent se manifester les ondes scalaires (https://luc-bodin.fr/evolution/comprendre-les-ondes-scalaires-et-leur-utilite-sur-la-sante/), des formes d’ondes non-linéaires, au-delà des champs électromagnétiques classiques. Elles ne transportent pas d’énergie comme une onde classique, mais de l’information dans un état de cohérence pure, instantanément et sans perte. Les ondes scalaires sont souvent décrites comme des vecteurs de conscience, capables de traverser la matière, le temps et l’espace. Elles résonnent avec l’intention pure, et trouvent naturellement leur place dans des états de silence profond, là où le mental n’interfère plus. Le silence intérieur devient alors un récepteur naturel de ces ondes d’ordre supérieur, facilitant une reconnexion à la source et à une sagesse non-verbale, mais universelle.
1. Le silence comme transmission implicite
Quand certaines expériences familiales (traumatismes, secrets, deuils, violences, abandons, faillites, maladies mentales…) ne sont pas racontées, elles ne disparaissent pas. Elles se transmettent souvent de manière implicite :
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Par les comportements : anxiété, hypervigilance, surprotection, froideur, ou rigueur excessive.
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Par les non-dits émotionnels : certaines émotions sont refoulées ou interdites (colère, honte, tristesse), et l’enfant apprend inconsciemment à les ignorer ou à les porter en lui.
2. Création de fantômes émotionnels
Le silence nourrit ce que psychogénéalogistes appellent des « fantômes » ou « loyautés invisibles » :
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L’enfant ressent un poids ou une obligation sans en connaître l’origine.
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Il peut reproduire inconsciemment le drame familial (choix de carrière, relations, comportements) pour « réparer » ce qui est resté secret ou non résolu.
3. Impact sur l’identité et le sentiment d’appartenance
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Le manque d’informations sur l’histoire familiale empêche de se construire pleinement.
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L’enfant peut ressentir un vide identitaire : « D’où je viens ? Qui suis-je vraiment dans cette lignée ? »
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L’absence de récits empêche également de comprendre certains traits familiaux, habitudes ou réactions émotionnelles.
4. Honte et culpabilité
Le silence est souvent lié à des émotions interdites ou taboues (violences, infidélités, dettes, maladies).
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Les descendants peuvent ressentir une honte diffuse sans savoir pourquoi.
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La culpabilité peut s’installer, surtout si la famille laisse sous-entendre qu’il vaut mieux « ne pas en parler » ou « oublier ».
5. Bloque l’élaboration psychique
Dans la psychogénéalogie et la psychanalyse familiale :
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Le silence empêche l’intégration de l’histoire familiale dans la mémoire et le récit de vie.
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La répétition inconsciente des traumatismes est favorisée.
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L’enfant ou l’adulte peut se sentir bloqué émotionnellement, avec des symptômes psychosomatiques, anxiété, dépression ou difficultés relationnelles.
6. En résumé
Le silence ne protège pas nécessairement : il transmet le traumatisme de manière déguisée, laisse place à l’incompréhension et à la répétition des blessures non résolues. Briser le silence, même progressivement, permet de :
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Nommer et reconnaître le vécu des ancêtres.
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Libérer les descendants des loyautés invisibles.
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Retrouver une identité plus cohérente et un meilleur équilibre émotionnel.