👉 “Retrouver son axe intérieur : signatures fréquentielles, sons, olfaction et psychogénéalogie”

Connaître son intériorité : un chemin vers soi

Dans un monde où tout s’accélère, où l’on cherche sans cesse à comprendre, à prouver, à s’adapter, il est parfois difficile de se tourner vers l’intérieur. Et pourtant, connaître son intériorité, c’est retrouver le fil de soi-même, cette présence intime qui ne dépend ni des rôles, ni des attentes, ni des apparences.

Connaître son intériorité : retrouver son axe par les signatures fréquentielles, le son, l’olfaction et la psychogénéalogie

Connaître son intériorité, c’est apprendre à revenir à son axe, à cette ligne invisible qui relie le corps, le cœur et l’âme.
C’est sentir, au-delà du mental, ce qui vibre vraiment en soi.

Mais notre axe, souvent, s’est perdu dans le bruit du monde, dans les héritages familiaux, les croyances ou les blessures anciennes.
Retrouver cet alignement intérieur demande de se laisser guider par des langages plus subtils : la vibration, la fréquence, la mémoire du corps et du souffle.


Les signatures fréquentielles : un langage vibratoire du vivant

Chaque être, chaque émotion, chaque histoire possède une fréquence unique — une signature fréquentielle.
En entrant en résonance avec des sons et des fragrances spécifiques, nous offrons à notre être un miroir vibratoire : une façon de se reconnaître au-delà des mots.

Le son agit comme un diapason intérieur : il harmonise, relie, réveille des zones endormies de notre être.
L’olfaction, elle, contourne le mental pour atteindre directement la mémoire émotionnelle et cellulaire.
Une fragrance peut faire remonter un souvenir, une sensation enfouie, ou au contraire apaiser une tension ancienne.

Lorsque le son et la fragrance vibrent ensemble, ils créent un espace d’ouverture, un passage.
Dans cet état de résonance, l’être se réaccorde naturellement sur sa fréquence juste — celle de son axe originel, avant les conditionnements, les attentes, ou les blessures.


La psychogénéalogie : éclairer les mémoires et les fidélités inconscientes

Pour se tenir pleinement dans son axe, il est essentiel de comprendre ce qui nous en éloigne.
Nos histoires familiales tissent des liens invisibles faits de loyautés, de répétitions, d’identifications et de projections.
Parfois, nous portons en nous le poids d’émotions ou de destins qui ne nous appartiennent pas : des fragments d’histoires transmises silencieusement d’une génération à l’autre.

La psychogénéalogie permet de mettre en lumière ces transmissions inconscientes.
Elle révèle les enchevêtrements, les places inversées, les non-dits et les fidélités cachées.
En les rendant visibles, elle nous offre la possibilité de nous en libérer avec conscience et douceur.


Comment se travaille le lien entre signatures fréquentielles et psychogénéalogie

Le travail des signatures fréquentielles en lien avec la psychogénéalogie se vit comme un dialogue entre la conscience et la vibration.
Dans un premier temps, l’exploration psychogénéalogique met en lumière les empreintes familiales : les schémas, les blessures ou les élans restés inachevés.
Puis, la séance fréquentielle vient traduire ces mémoires en fréquences, en sons et en fragrances, pour permettre au corps et au champ énergétique de libérer ce qui a été reconnu.

Les sons, par leurs harmoniques, viennent dénouer les tensions profondes.
Les fragrances agissent comme des clés olfactives qui ouvrent la mémoire émotionnelle, souvent au-delà du langage.
Ensemble, ils créent un espace de résonance où le passé peut se transformer sans passer par le mental.

Ce travail ne cherche pas à “effacer” le passé, mais à le réaccorder à une vibration de paix et de cohérence.
Là où la psychogénéalogie apporte la conscience, les signatures fréquentielles apportent la résonance et l’intégration.
C’est une rencontre entre la mémoire et la vibration, entre la compréhension et le ressenti, entre l’histoire et le souffle du présent.

« La conscience éclaire, la vibration réaccorde. »


De la mémoire à la liberté

Lorsque ces approches se rencontrent — la vibration, le souffle, la mémoire et la conscience — elles ouvrent des portes intérieures.
Elles nous ramènent vers une vérité plus simple : celle d’un être vivant en accord avec sa propre fréquence, libre de ses conditionnements et relié à la vie.

Connaître son intériorité, ce n’est donc pas s’enfermer dans l’analyse ou la quête de perfection,
mais se laisser traverser, sentir, écouter, et se réaccorder.
C’est un chemin d’unité, un retour à soi, un élan vers l’avant.

Dominique Mathey – « LĂ  oĂą la vibration touche la mĂ©moire, l’être retrouve son axe et avance. »
 

Thérapeute Psychocorporelle

PsychogĂ©nĂ©alogie – Constellation familiale et systĂ©mique –  Signatures frĂ©quentielles – Psychophanies
SĂ©ances – Ateliers – ConfĂ©rences

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